BlOGM

Bon avec un titre pareil, c'est du sérieux.
A la soif d'absolu que je peux parfois manifester dans un monde où la relativité finit par l'emporter (je viens de lire un article sur philosophie.org sur "les impostures intellectuelles du 'post-modernisme' " ; mais ce n'est pas de cela que je veux parler pour le moment...), j'oppose par méthode un nécessaire retour aux principes fondamentaux de l'anthropologie et de l'éthnologie appris au cours de mes études de sociologie : une bonne dose de relativisme culturel.
Qu'est-ce qu'un humain ? quelles sont ses caractèristiques universelles qui permettrait de le distinguer dans l'ordre du monde et en particulier du non-humain ? Y a-t-il une vérité transcendantale du principe d'humanité (Il faut que je lise le bouquin de Jean Claude Guillebaud que je tiens sous le coude...) ?
Ce ne sont pas les questions qui manquent mais les réponses. Et ne vous inquiétez pas, je ne les ais pas...
Même si c'est à peu près sans espoir de vouloir trouver une vérité première ou dernière...ce n'est pas une raison suffisante pour renoncer à chercher à se repèrer dans ce dédale des pensées qui nous agitent.
Donc je vous convie à un petit détour que je suis en train de faire par la pensée ethnologique du monde telle que nous la propose de manière vivifiante Philippe Descola. (professeur au Collège de France, directeur du laboratoire d'anthropologie sociale, EHESS)

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